La rénovation et la restauration ont plus que jamais le vent en poupe. Une rénovation de toiture réussie exige du savoir-faire ainsi qu'une parfaite connaissance des anciennes techniques d'installation. C'est une expertise que le groupe Tectum possède non seulement en interne, mais qu'il continue également à transmettre aux générations futures. Travail et formation sont ainsi mus par le même moteur : la passion !
Le Musée Royal de l'Afrique Centrale (MRAC) à Tervuren, l'Observatoire Royal à Uccle, les Pavillons du Palais Royal, le Parc du Cinquantenaire, etc., autant de bâtiments exceptionnels dont la toiture est en cuivre, en plomb, en laiton ou en zinc et qui présentent un point commun : ils ont tous été restaurés avec le plus grand soin par Six by Tectum, les spécialistes de la restauration de Tectum Group. Des restaurations de ce type ne nécessitent pas uniquement une excellente connaissance des matériaux de finition des métaux, mais aussi des techniques de pose et de la charpenterie datant du milieu du siècle dernier. Un tel savoir-faire commence hélas à se faire rare dans notre pays. Tectum Group lutte contre la perte de connaissances et se démarque ainsi de la concurrence. "Nous sommes réputés sur le marché pour notre expertise en matière de toitures spécialisées. Nous avons par exemple restauré la charpente en bois, les ardoises, le revêtement en plomb et les ornements en plomb de la coupole centrale du MRAC, ainsi que les coupoles en laiton de l'Observatoire Royal", détaille Willem Beke, chef de projet. "Mais nous ne nous limitons pas à la toiture. Notre organisation et nos connaissances nous permettent de proposer et de coordonner des commandes globales et de réaliser ainsi l'ensemble de la construction et de la finition de la toiture. L'avantage est que le client ne doit dès lors s'adresser qu'à un seul interlocuteur à la fois pour l'exécution et pour la garantie."
Alors que la tendance actuelle du marché consiste à revenir à des systèmes de toiture prêts à l'emploi, Tectum Group continue à se concentrer sur les réalisations techniques qui ne peuvent être effectués en utilisant des produits standard. "Nous appliquons encore fréquemment les anciennes techniques pour élaborer des solutions sur mesure dans le cas de projets complexes de rénovation et de restauration. Ainsi, la connaissance de ces techniques anciennes est toujours présente au sein de notre entreprise", explique le chef d'équipe Stephan Haeke. Ce dernier maîtrise les anciennes techniques de pose des toits métalliques, tels que les tasseaux brevetés ou ordinaires, et il aime les détails complexes dans la menuiserie ou les gouttières carrées. "Cela fait trois générations déjà que nous formons en interne de nouveaux artisans. C'est indispensable, car les couvreurs en formation n'apprennent plus ces techniques à l'école. Ce n'est que lorsqu'ils maîtrisent le métier à la perfection que nous sommes en mesure de fournir le niveau de qualité visé". Stephan et son collègue Geert forment donc les nouveaux venus au métier pendant cinq ans. Stephan se concentre sur les techniques spéciales, tandis que Geert se spécialise dans les systèmes de bardage à joint debout et contemporains. Enseignant lui-même, il est toujours avide d'apprendre. "Regarde autour de toi et apprend en observant, voilà ce que mon prof à l'école technique me conseillait", raconte Stephan. "Lorsque je travaille sur un toit et que je découvre une technique moins connue, j'en étudie soigneusement tous les détails de manière à comprendre comment l'artisan a procédé. Nous démontons ensuite le toit pièce par pièce et nous documentons la construction à l'aide de photos. Ainsi, les connaissances que nous transmettons représentent un amalgame de 40 années de travail avec différents produits, d'observation et d'apprendre des erreurs".
Lisez aussi : Tectum Group forme des couvreurs tout seuls.
Le besoin d'une formation interne découle d'une spirale négative dans laquelle l'industrie a basculé. Cela a débuté par la recherche de solutions moins onéreuses. "Par exemple, les gouttières en zinc ont été remplacées par des finitions en caoutchouc EPDM. Si une gouttière est encore réalisée en zinc, ce n'est plus avec le savoir-faire d'antan. Les conséquences sont évidentes: la qualité baisse, générant une image négative. Nous tenons à remédier à cette situation. Si les systèmes et les techniques d'autrefois sont appliqués dans les règles de l'art, ces réalisations perdureront sans problème pendant plusieurs décennies. Je n'ai jamais vu un système d'étanchéité de toiture en EPDM qui dure 80 ans, alors qu'une toiture en plomb, en cuivre ou en zinc réalisée dans les règles de l'art peut tenir près de 100 ans, voire plus. L'évolution vers des produits innovants meilleur marché a précipité le déclin du progrès. donné lieu à un recul du progrès. Les connaissances en matière de mise en oeuvre diminuent, entraînant une perte de confiance dans le produit".
La passion de Tectum Group et de Stephan pour les projets de restauration complexes les a déjà conduits aux projets les plus remarquables. Quel fut le plus marquant d'entre eux? "Cela ne dépend pas seulement de l'ampleur ou du caractère du projet, mais aussi de sa complexité. Par exemple, il y a deux ans, nous avons réalisé les toits du Montevideo à Anvers. Nous y avons conçu et exécuté un détail qui n'avait jamais été fait auparavant. Plus précisément, nous avons aligné la surface du toit en zinc avec une verrière, comme le souhaitait l'architecte. Habituellement, la verrière dépasse du zinc de manière à former une sorte de gouttière qui sert à évacuer l'eau. Grâce à une combinaison de techniques anciennes et de nouveaux produits, nous sommes parvenu à réaliser le souhait de l'architecte. Le fournisseur n'a pas osé garantir la qualité technique, mais le toit est toujours étanche aujourd'hui. Et j'en suis extrêmement fier", avoue Stephan.
Un autre projet mémorable pour Stephan est le Parc du Cinquantenaire à Bruxelles. Il est passé devant des centaines de fois en se disant que la rénovation de ces toitures constituerait un défi passionnant. Et ce rêve est finalement devenu réalité il y a cinq ans. "Les toits sont réalisés avec de nombreuses techniques différentes, plus ou moins complexes. En tant que professionnel, j'estime qu'il s'agit là d'un énorme défi et d'une excellente opportunité d'apprentissage. C'est un véritable honneur de restaurer ces toits en recourant aux techniques d'antan", conclut Stephan.
Vous êtes un concepteur ou un entrepreneur confronté à un projet de rénovation de toiture constituant un défi ? Contactez nos spécialistes! Nous réfléchirons ensemble afin de définir avec vous la solution d'étanchéité idéale.
Vous êtes vous-même passionné par les toitures complexes et vous souhaitez maîtriser les techniques anciennes ? Alors consultez nos offres d'emploi.
La rénovation et la restauration ont plus que jamais le vent en poupe. Une rénovation de toiture réussie exige du savoir-faire ainsi qu'une parfaite connaissance des anciennes techniques d'installation. C'est une expertise que le groupe Tectum possède non seulement en interne, mais qu'il continue également à transmettre aux générations futures. Travail et formation sont ainsi mus par le même moteur : la passion !
Le Musée Royal de l'Afrique Centrale (MRAC) à Tervuren, l'Observatoire Royal à Uccle, les Pavillons du Palais Royal, le Parc du Cinquantenaire, etc., autant de bâtiments exceptionnels dont la toiture est en cuivre, en plomb, en laiton ou en zinc et qui présentent un point commun : ils ont tous été restaurés avec le plus grand soin par Six by Tectum, les spécialistes de la restauration de Tectum Group. Des restaurations de ce type ne nécessitent pas uniquement une excellente connaissance des matériaux de finition des métaux, mais aussi des techniques de pose et de la charpenterie datant du milieu du siècle dernier. Un tel savoir-faire commence hélas à se faire rare dans notre pays. Tectum Group lutte contre la perte de connaissances et se démarque ainsi de la concurrence. "Nous sommes réputés sur le marché pour notre expertise en matière de toitures spécialisées. Nous avons par exemple restauré la charpente en bois, les ardoises, le revêtement en plomb et les ornements en plomb de la coupole centrale du MRAC, ainsi que les coupoles en laiton de l'Observatoire Royal", détaille Willem Beke, chef de projet. "Mais nous ne nous limitons pas à la toiture. Notre organisation et nos connaissances nous permettent de proposer et de coordonner des commandes globales et de réaliser ainsi l'ensemble de la construction et de la finition de la toiture. L'avantage est que le client ne doit dès lors s'adresser qu'à un seul interlocuteur à la fois pour l'exécution et pour la garantie."
Alors que la tendance actuelle du marché consiste à revenir à des systèmes de toiture prêts à l'emploi, Tectum Group continue à se concentrer sur les réalisations techniques qui ne peuvent être effectués en utilisant des produits standard. "Nous appliquons encore fréquemment les anciennes techniques pour élaborer des solutions sur mesure dans le cas de projets complexes de rénovation et de restauration. Ainsi, la connaissance de ces techniques anciennes est toujours présente au sein de notre entreprise", explique le chef d'équipe Stephan Haeke. Ce dernier maîtrise les anciennes techniques de pose des toits métalliques, tels que les tasseaux brevetés ou ordinaires, et il aime les détails complexes dans la menuiserie ou les gouttières carrées. "Cela fait trois générations déjà que nous formons en interne de nouveaux artisans. C'est indispensable, car les couvreurs en formation n'apprennent plus ces techniques à l'école. Ce n'est que lorsqu'ils maîtrisent le métier à la perfection que nous sommes en mesure de fournir le niveau de qualité visé". Stephan et son collègue Geert forment donc les nouveaux venus au métier pendant cinq ans. Stephan se concentre sur les techniques spéciales, tandis que Geert se spécialise dans les systèmes de bardage à joint debout et contemporains. Enseignant lui-même, il est toujours avide d'apprendre. "Regarde autour de toi et apprend en observant, voilà ce que mon prof à l'école technique me conseillait", raconte Stephan. "Lorsque je travaille sur un toit et que je découvre une technique moins connue, j'en étudie soigneusement tous les détails de manière à comprendre comment l'artisan a procédé. Nous démontons ensuite le toit pièce par pièce et nous documentons la construction à l'aide de photos. Ainsi, les connaissances que nous transmettons représentent un amalgame de 40 années de travail avec différents produits, d'observation et d'apprendre des erreurs".
Lisez aussi : Tectum Group forme des couvreurs tout seuls.
Le besoin d'une formation interne découle d'une spirale négative dans laquelle l'industrie a basculé. Cela a débuté par la recherche de solutions moins onéreuses. "Par exemple, les gouttières en zinc ont été remplacées par des finitions en caoutchouc EPDM. Si une gouttière est encore réalisée en zinc, ce n'est plus avec le savoir-faire d'antan. Les conséquences sont évidentes: la qualité baisse, générant une image négative. Nous tenons à remédier à cette situation. Si les systèmes et les techniques d'autrefois sont appliqués dans les règles de l'art, ces réalisations perdureront sans problème pendant plusieurs décennies. Je n'ai jamais vu un système d'étanchéité de toiture en EPDM qui dure 80 ans, alors qu'une toiture en plomb, en cuivre ou en zinc réalisée dans les règles de l'art peut tenir près de 100 ans, voire plus. L'évolution vers des produits innovants meilleur marché a précipité le déclin du progrès. donné lieu à un recul du progrès. Les connaissances en matière de mise en oeuvre diminuent, entraînant une perte de confiance dans le produit".
La passion de Tectum Group et de Stephan pour les projets de restauration complexes les a déjà conduits aux projets les plus remarquables. Quel fut le plus marquant d'entre eux? "Cela ne dépend pas seulement de l'ampleur ou du caractère du projet, mais aussi de sa complexité. Par exemple, il y a deux ans, nous avons réalisé les toits du Montevideo à Anvers. Nous y avons conçu et exécuté un détail qui n'avait jamais été fait auparavant. Plus précisément, nous avons aligné la surface du toit en zinc avec une verrière, comme le souhaitait l'architecte. Habituellement, la verrière dépasse du zinc de manière à former une sorte de gouttière qui sert à évacuer l'eau. Grâce à une combinaison de techniques anciennes et de nouveaux produits, nous sommes parvenu à réaliser le souhait de l'architecte. Le fournisseur n'a pas osé garantir la qualité technique, mais le toit est toujours étanche aujourd'hui. Et j'en suis extrêmement fier", avoue Stephan.
Un autre projet mémorable pour Stephan est le Parc du Cinquantenaire à Bruxelles. Il est passé devant des centaines de fois en se disant que la rénovation de ces toitures constituerait un défi passionnant. Et ce rêve est finalement devenu réalité il y a cinq ans. "Les toits sont réalisés avec de nombreuses techniques différentes, plus ou moins complexes. En tant que professionnel, j'estime qu'il s'agit là d'un énorme défi et d'une excellente opportunité d'apprentissage. C'est un véritable honneur de restaurer ces toits en recourant aux techniques d'antan", conclut Stephan.
Vous êtes un concepteur ou un entrepreneur confronté à un projet de rénovation de toiture constituant un défi ? Contactez nos spécialistes! Nous réfléchirons ensemble afin de définir avec vous la solution d'étanchéité idéale.
Vous êtes vous-même passionné par les toitures complexes et vous souhaitez maîtriser les techniques anciennes ? Alors consultez nos offres d'emploi.
La rénovation et la restauration ont plus que jamais le vent en poupe. Une rénovation de toiture réussie exige du savoir-faire ainsi qu'une parfaite connaissance des anciennes techniques d'installation. C'est une expertise que le groupe Tectum possède non seulement en interne, mais qu'il continue également à transmettre aux générations futures. Travail et formation sont ainsi mus par le même moteur : la passion !
Le Musée Royal de l'Afrique Centrale (MRAC) à Tervuren, l'Observatoire Royal à Uccle, les Pavillons du Palais Royal, le Parc du Cinquantenaire, etc., autant de bâtiments exceptionnels dont la toiture est en cuivre, en plomb, en laiton ou en zinc et qui présentent un point commun : ils ont tous été restaurés avec le plus grand soin par Six by Tectum, les spécialistes de la restauration de Tectum Group. Des restaurations de ce type ne nécessitent pas uniquement une excellente connaissance des matériaux de finition des métaux, mais aussi des techniques de pose et de la charpenterie datant du milieu du siècle dernier. Un tel savoir-faire commence hélas à se faire rare dans notre pays. Tectum Group lutte contre la perte de connaissances et se démarque ainsi de la concurrence. "Nous sommes réputés sur le marché pour notre expertise en matière de toitures spécialisées. Nous avons par exemple restauré la charpente en bois, les ardoises, le revêtement en plomb et les ornements en plomb de la coupole centrale du MRAC, ainsi que les coupoles en laiton de l'Observatoire Royal", détaille Willem Beke, chef de projet. "Mais nous ne nous limitons pas à la toiture. Notre organisation et nos connaissances nous permettent de proposer et de coordonner des commandes globales et de réaliser ainsi l'ensemble de la construction et de la finition de la toiture. L'avantage est que le client ne doit dès lors s'adresser qu'à un seul interlocuteur à la fois pour l'exécution et pour la garantie."